Luanda - La secrétaire générale de l'Organisation de la Femme Angolaise (OMA, sigle en portugais), Joana Tomás, a demandé samedi, à Luanda, à la société de dénoncer les cas d'abus sexuels contre les enfants, unissant les efforts pour que les filles se sentent protégées au sein de la famille.
Joana Tomás, qui s’exprimait à l'ouverture d'une réunion en allusion à la Journée internationale de la famille, a déclaré que les cas de violence sexuelle contre les enfants, enregistrés dans le pays, étaient inacceptables et que la société devrait unir ses forces pour mettre fin à ce type d'agression qui ternit le moral d'un pays.
La secrétaire générale de l’OMA s’est dit préoccupée par le grand nombre de cas de violations commises par les pères contre leurs filles et que la plupart de ces cas sont omis par les mères qui empêchent les filles de dénoncer les abus.
Joana Tomás a défendu la réalisation d'un travail de moralisation continue à développer par les différents partenaires sociaux pour mettre fin à ces cas.