Luanda - La vice-présidente de la République, Esperança da Costa, a abordé, ce jeudi 27 juillet, avec les représentantes des associations africaines de femmes en géosciences des questions liées au renforcement de la coopération entre les pays de la Communauté de développement de l'Afrique australe (SADC), en mettant l'accent sur l'autonomisation des femmes dans les mines.
A la fin de l'audience, la représentante de l'Association des femmes des mines de la SADC, Namesto Ntsosa-Carr, a annoncé l'intention de créer une fédération au niveau régional pour regrouper les associations des femmes mineures.
À l'occasion, la secrétaire d'État à la Science, à la Technologie et à l'Innovation, Alice de Ceita e Almeida, a défendu la nécessité pour les professionnels du secteur de disposer de connaissances actualisées sur les nouvelles technologies.
Elle a encouragé les femmes géoscientifiques, issues de différents domaines d'activité, à poursuivre leur engagement dans ce domaine, avec des pratiques innovantes qui ont un impact direct sur la société.
A son tour, la présidente de l'Association Africaine des Femmes en Géosciences, Errami Ezzouva, a souligné l'importance de cette rencontre, notant qu'elle a servi à passer en revue les aspects liés à l'autonomisation des femmes dans les géosciences.
La vice-présidente de la République a également reçu la présidente de l'Association africaine des femmes en géosciences en Angola, Esperança dos Santos.
L'Angola accueille, du 26 au 29 de ce mois, la 10e Conférence internationale de l'Association africaine des femmes en géosciences, avec la présence de différentes entités nationales et étrangères.
L'événement vise à améliorer l'inclusion scientifique et sociale des femmes, en les attirant vers des carrières dans les géosciences, afin que la mise en œuvre de programmes mondiaux tels que "l'Agenda 2030 pour le développement durable", "l'Accord de Paris sur le changement climatique" et "l'Agenda 2063 – L'Afrique que nous voulons". FMA/SC/ADR/LUZ