Luanda - L'Angola participera à la 55ème session du Conseil des Droits de l'Homme (CDH) des Nations Unies, qui s'ouvre lundi, à Genève, en Suisse, avec un vaste agenda marqué par des dialogues interactifs.
Selon une note de la représentation diplomatique dans ce pays à laquelle l'Angop a eu accès, au cours de l'événement, qui doit se terminer le 5 avril, les participants aborderont également d’autres sujets, comme l'élimination de la discrimination raciale, les droits des personnes handicapées, la violence contre les enfants, les conflits armés et albinisme.
Des séances de dialogue de haut niveau auront également lieu tout au long de la 55e session du Conseil des Droits de l'Homme, où les participants auront l'occasion de partager la position nationale sur la question des droits de l'homme.
La délégation angolaise à l'événement qui est conduite par la secrétaire d'État aux Relations extérieures, Esmeralda Mendonça, comprend la secrétaire d'État aux Droits de l'Homme et à la Citoyenneté, Ana Celeste Januário, l'ambassadrice Margarida Izata, représentante permanente de la Mission angolaise aux Nations Unies et à d'autres organisations internationales, à Genève.
La délégation comprend également des diplomates de la Mission permanente de l'Angola et des techniciens des ministères des Relations extérieures et de la Justice et Droits de l'Homme.
Lundi, la séance d'ouverture du CDH sera dirigée par le nouveau président de cette instance, l'ambassadeur du Maroc Omar Zniber, élu en janvier pour un mandat d'un an.
Des discours, notamment par vidéoconférence, du Secrétaire général de l'ONU, António Guterres, du Président de l'Assemblée générale des Nations Unies, Dennis Francis, et du Haut-commissaire des Nations Unies aux Droits de l'homme, Volker Türk, marqueront la séance d'ouverture.
Conformément à l'ordre du jour de cette 55e session du CDH, le 29 février, comme déjà mentionné, le Conseil tiendra un dialogue interactif sur le rapport du Haut-commissaire sur les territoires palestiniens occupés, y compris Jérusalem-Est, et sur l'obligation de garantir responsabilité et justice, à un moment où la situation humanitaire in loco prend des proportions sans précédent.
SC/LUZ