Luanda - L'Assemblée nationale (AN) a réaffirmé, ce mardi (10), son engagement en faveur de la protection des droits de l'homme.
Dans un message à l'occasion du 10 décembre, Journée mondiale des droits de l'homme, la présidente de la Chambre des lois, Carolina Cerqueira, affirme que les parlementaires s'associent à la devise défendue par la communauté internationale « Nos droits, notre avenir, maintenant ».
Elle affirme que cette devise souligne l'importance de défendre et d'appliquer les droits, libertés et garanties de tous les citoyens pour un meilleur accès à l'éducation, à la santé, au travail décent, à la liberté d'expression et de manifestation dans le strict respect de la Constitution et de la loi.
Elle ajoute qu'aujourd'hui, « nous luttons encore pour garantir que l'exclusion sociale fondée sur le sexe, la race, les croyances et le niveau d'éducation socioprofessionnelle n'existe pas dans la société, ainsi que la violence contre les femmes, les filles et les enfants, les crimes odieux qui doit être puni de manière exemplaire.
C'est pourquoi, a-t-elle poursuivi, « il est de notre devoir, en tant que parlementaires, de mener le plaidoyer nécessaire pour que ces pratiques n'aient pas lieu, car nous sommes tous égaux en dignité ».
En accord clair avec la Déclaration universelle des droits de l'homme des Nations Unies, la Charte africaine des droits des peuples de l'Union africaine et les protocoles de la SADC en la matière, « unissons nos synergies pour améliorer toujours plus les instruments juridiques et protéger les droits de l'homme ».
Selon elle, cela vise à renforcer la capacité de l'Assemblée nationale à défendre et à mettre en œuvre les droits de l'homme dans toutes leurs dimensions et leur portée.
SC/SB