L’ancien président du Brésil a souligné vendredi l’importance du patriotisme, en attaquant "le communisme", et en revenant sur les thèmes de la campagne électorale, lors d’une conférence aux États-Unis organisée par une association conservatrice.
Dans son discours, Bolsonaro n’a pas mentionné les attaques perpétrées par des partisans radicaux le 8, contre les sièges des trois pouvoirs à Brasilia.
L’ancien chef d’État brésilien est aux États-Unis depuis le 30 décembre et attend un "changement de visa", demandé par l’avocat en janvier, afin de pouvoir rester plus longtemps dans le pays.
Cette semaine encore, Bolsonaro, qui vit chez le lutteur d’arts martiaux mixtes José Aldo, a été honoré à Orlando, en Floride, par environ 600 compatriotes.
Lors de l’hommage, il a dit qu’il n’avait pas l’intention de retourner au Brésil pendant un certain temps, mais il ne se retirera pas de la politique active dans le pays.