Luanda - La ministre de l’Enseignement Supérieur, des Sciences, de la Technologie et de l’Innovation, Maria Sambo, a exprimé, vendredi, l’intérêt de voir des techniciens nationaux mettre en œuvre des pratiques scientifiques dans le nouveau laboratoire de sécurité, de l’Université Nova de Lisboa, au Portugal.
L’Université Nova de Lisboa compte depuis vendredi sur un laboratoire de sécurité, dénommé VIASEF.
La ministre, qui a participé à l’acte d’inauguration de façon virtuelle, a dit être intéressée de voir des chercheurs angolais commencer des pratiques scientifiques, avec des résultats pour la lutte contre des maladies fréquentes dans le pays, comme le paludisme.
Por sua vez, o director do Instituto de Higiene de Medicina Tropical, Filomeno Fortes sublinhou que o referido laboratório vai contribuir em pesquisas de doenças como malária, chicongonha, entre outras.
"Que l’Angola bénéficie de la coopération et fasse les mêmes recherches", a-t-elle souligné lors de l’inauguration, insérée dans les commémorations des 120 ans d’existence de l’Institut d’Hygiène de Médecine Tropicale de l’Institution.
Pour sa part, le directeur de l’Institut d’Hygiène de Médecine Tropicale, Filomeno Fortes, a souligné que ce laboratoire contribuera à la recherche sur des maladies telles que le paludisme, chikungunya et entre autres.
Le projet du Centre de sécurité, lancé en 2014, a été financé par la fondation de la technologie.
L’Institut d’Hygiène et de Médecine Tropicale a été fondé le 24 avril 1902, ayant réussi au cours de son histoire à développer des axes stratégiques fondés sur l’innovation, et participe à des activités de recherches scientifiques et médicales au niveau international.