Luanda - Le directeur de l’Environnement et de l’Action climatique, Giza Gaspar Martins, a souligné vendredi, à Luanda, la nécessité du pays de renforcer la capacité de surveillance de la qualité de l’air, pour adopter des mesures technologiques plus favorables et qui ne nuisent pas à sa qualité.
Selon le responsable, qui s’adressait à la presse en marge de l’atelier sur "Qualité environnementale en Angola", promu par le Ministère de la Culture, du Tourisme et de l’Environnement, dans le cadre de la Journée mondiale de la Terre, le programme de qualité environnementale va définir l’indice de qualité de l’air, aboutissent à l’amélioration de la surveillance et d’éventuelles mesures visant la promotion de sa qualité.
Par rapport à la conférence , il a souligné qu’il visait à analyser la question de l’environnement, mettant l’accent sur les villes intelligentes et sur le partage d’informations et d’expériences de certains acteurs, qui offrent au marché national des alternatives de services et de produits dans le cadre du développement durable.
Il a averti que les villes intelligentes sont des processus et doivent être capables de produire des informations au bénéfice des communautés dans les différents aspects de la vie sociale.
La rencontre a analysé des thèmes tels que "L’exposition personnelle aux polluants particuliers dans l’atmosphère urbaine", "Technologies innovantes, principaux défis", "Contribution pour la réduction des niveaux d’émissions atmosphériques urbaines", "Système national d’inspection périodique des voitures", entre autres.
La Journée mondiale de la Terre (22 avril) a été initialement choisie par l’équipe du sénateur américain Gaylord Nelson. En 1970, le politicien a eu l’idée de fixer une date pour faire prendre conscience de l’impact de l’action humaine sur la nature et de l’importance de la préservation de l’environnement.