Trente –et-un manifestants du Hirak arrêtés en Algérie ont été condamnés à des peines de prison ferme, au moment où le pouvoir intensifie sa répression afin de briser le mouvement de contestation avant la prochaine échéance électorale, lit-on sur l’Ouest France.
« Visiblement, le pouvoir a décidé d’en finir avec le Hirak pacifique », a déclaré ce lundi 17 mai Saïd Salhi, vice-président de la Ligue algérienne pour la défense des droits de l’Homme (LADDH).